Le nombre de téléphones portables augmente de jour en jour et de plus en plus de téléphones doivent être réparés, remis en meuf ou recyclés. Par conséquent, les compétences en réparation de smartphones deviennent plus recherchées. Lisez attentivement cet article, pour comprendre le métier de réparateur smartphone.
Pour devenir réparateur de smartphone : a-t-on besoin d’une certification ?
Vous n’avez pas besoin d’être certifié ou d’avoir une licence professionnelle pour devenir technicien smartphone. La profession a été décrite comme « émergente », de sorte que le cadre juridique de l’exercice de cette profession n’est pas entièrement défini. Nous vous recommandons smartforpro pour meilleure formation. Par exemple, si vous souhaitez travailler dans le domaine de la maintenance, vous aurez peut-être besoin de permis (permis pour travailler avec de l’électricité, permis pour travailler avec des fluides frigorigènes, etc.). Cependant, comme les smartphones sont relativement nouveaux, aucune autorisation ou certification n’est requise pour le moment. Mais le mieux sera de se faire former pour l’avoir. Car les certifications professionnelles étant déposées au Répertoire National des Certifications Professionnelles (RNCP) sont reconnues au niveau national comme la garantir d’un niveau de compétence défini et certifié.
Quelles formations suivre pour devenir réparateur de smartphones ?
Au fur et à mesure que ce métier évolue, il existe autant de centres de formation que de formations différentes sur le marché. La formation peut-être à long ou à court terme (3 jours jusqu’à 6 mois) et peut être accréditée, certifiée ou finançable. Le plus important lors du choix d’une formation de technicien réparateur smartphone est de choisir un institut de formation disposant d’une qualification professionnelle reconnue au niveau national et répondant aux exigences réglementaires des institutions de formation. Ces deux aspects déterminent si la formation peut être financée (via les OPCA, les comptes professionnels de formation, les régions, les salariés, etc.). Les programmes de formation les plus courts sont généralement incomplets, obligeant les candidats à poursuivent leurs formations dans l’entreprise avec laquelle ils exercent ou seuls s’ils sont indépendants.